05/05/09 Barjac Plus de bio pour nos enfants.
Après le succés du film, des lignes ont bougé.
13h30 Accueil des participants.
Nous y étions: Alain Meunier, Bernard Chalumeau et Alain Belloi pour la municipalité du Luc, Odile Gailhard et Claude Grosso pour le Cannet des Maures, Geneviève Pessel, Isabelle Grosso, Martine Lallée, Christiane et Gérard Turin pur l'Amap des Maures.
Un pique-nique tiré du (gros) sac.
14h30 Ouverture de la rencontre par Edouard Chaulet, maire de Barjac.[La salle est comble.]
Quelques extraits:
A propos de la restauration rapide: " Plus de néfaste food."
En évoquant son ami, curé de Barjac, retiré à Vauvert il regrette que " le dernier exorciste cévennol soit parti au diable vauvert."
Parlant des décideurs politiques, il remarque que " la politique, c'est l'art des choix."
Il se qualifie de "ruraleur" et regrette l'exode rural qui amène les ruraux à perdre leurs valeurs. " Les hommes, c'est comme les pommes. Quand on les entasse, la pourriture apparait."
15h
Ensuite, toute une série de témoignages montreront que Barjac n'est pas un cas isolé. Un peu partout, élus et associations se préoccupent du contenu de l'assiette proposée à nos enfants. Des responsables de Vauvert et Salon apportent des précisions intéressantes. Les approvisionnements restent le gros problème même si la situation s'améliore d'année en année. Les coûts sont maîtrisés notamment par la mise en place de menus alternatifs.
Les échanges se prolongent en petits groupes sur la terrasse du château mairie. Ici M. Chaulet avec nos amapiennes et Alain Meunier; premier adjoint chargé du développement durable au Luc.
Des idées avancent, des projets prennet corps.
Fin d'après-midi: apéritif dînatoire dans la cour de l'école municipale.
13h30 Accueil des participants.
Nous y étions: Alain Meunier, Bernard Chalumeau et Alain Belloi pour la municipalité du Luc, Odile Gailhard et Claude Grosso pour le Cannet des Maures, Geneviève Pessel, Isabelle Grosso, Martine Lallée, Christiane et Gérard Turin pur l'Amap des Maures.
Un pique-nique tiré du (gros) sac.
14h30 Ouverture de la rencontre par Edouard Chaulet, maire de Barjac.[La salle est comble.]
M. "Barjac" retrace l'expérience de cantine "bio" dans sa commune en insistant sur le fait
qu'en aucun cas Barjac ne peut être un exemple.Située aux confins du Gard et de l'Ardèche c'est une petite commune aux finances conséquentes. Cependant, avec une volonté politique marquée, tout
est possible. Il s'agit tout simplement de rendre tout son sens au repas pris en commun, moment de partage, détente, plaisir;.
Manger autrement, c'est aussi produire autrement. Il s'agit de privilégier les approvisionnements de proximité, respectueux de l'environnement. Plus de résidus de pesticides dans les assiettes mais aussi solidarité avec les pays qui souffrent de malnutrition tout en alimentant nos filières "bio".
On ne pourra changer le monde sans changer le contenu de nos assiettes.
Manger autrement, c'est aussi produire autrement. Il s'agit de privilégier les approvisionnements de proximité, respectueux de l'environnement. Plus de résidus de pesticides dans les assiettes mais aussi solidarité avec les pays qui souffrent de malnutrition tout en alimentant nos filières "bio".
On ne pourra changer le monde sans changer le contenu de nos assiettes.
Quelques extraits:
A propos de la restauration rapide: " Plus de néfaste food."
En évoquant son ami, curé de Barjac, retiré à Vauvert il regrette que " le dernier exorciste cévennol soit parti au diable vauvert."
Parlant des décideurs politiques, il remarque que " la politique, c'est l'art des choix."
Il se qualifie de "ruraleur" et regrette l'exode rural qui amène les ruraux à perdre leurs valeurs. " Les hommes, c'est comme les pommes. Quand on les entasse, la pourriture apparait."
15h
Ensuite, toute une série de témoignages montreront que Barjac n'est pas un cas isolé. Un peu partout, élus et associations se préoccupent du contenu de l'assiette proposée à nos enfants. Des responsables de Vauvert et Salon apportent des précisions intéressantes. Les approvisionnements restent le gros problème même si la situation s'améliore d'année en année. Les coûts sont maîtrisés notamment par la mise en place de menus alternatifs.
Les échanges se prolongent en petits groupes sur la terrasse du château mairie. Ici M. Chaulet avec nos amapiennes et Alain Meunier; premier adjoint chargé du développement durable au Luc.
Des idées avancent, des projets prennet corps.
Fin d'après-midi: apéritif dînatoire dans la cour de l'école municipale.