Perturbateurs endocriniens
Selon un rapport parlementaire publié mercredi dernier, il existe un lien de causalité "crédible" entre certaines maladies touchant à la fertilité ou au cancer et les perturbateurs endocriniens. Or, dès les années 1970, des spécialistes s'étonnaient de différences significatives de qualité de sperme.
( Le nombre de grossesses médicalement assistées devrait faire un bond dans les prochaines années, selon une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm).)
Substances naturelles ou de synthèse, les perturbateurs endocriniens (PE) incluent des pesticides, des phtalates (jouets, cosmétiques...), le bisphénol A (revêtement plastique des canettes, boîtes de conserve...).
Le rapport estime que les données disponibles sont suffisantes pour agir dès maintenant afin de protéger les populations les plus vulnérables, tout particulièrement les bébés et les femmes enceintes.
En conclusion, il privilégie le principe de précaution et la mise en place d'un logo. Et pourquoi pas l'interdiction?
En termes de qualité de vie, que perdrait-on sans phtalates, bisphémol A etc....
Avant pour enterrer un problème, remettre une décision, on créait une commission. Aujourd'hui, on dessine un logo.
" S'il te plait, dessine-moi un logo?"